Synopsis
Notre avis sans spoiler : Critique — Poor Things (Rattrapage France 2024) Dans ce long métrage, la mise en scène s’impose par sa clarté et son sens du cadre. Le récit, sans bavardage, avance avec une énergie contrôlée : le film privilégie la lisibilité et la précision du geste.
Les acteurs trouvent une vraie cohérence de jeu ; on pense… Le film privilégie une progression claire, sans divulgâcher ses révélations majeures.
Casting
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Critique
Critique — Poor Things (Rattrapage France 2024)
Dans ce long métrage, la mise en scène s’impose par sa clarté et son sens du cadre. Le récit, sans bavardage, avance avec une énergie contrôlée : le film privilégie la lisibilité et la précision du geste. Les acteurs trouvent une vraie cohérence de jeu ; on pense parfois à des modèles du genre, mais l’œuvre affirme son propre tempérament.
Côté chiffres, le box-office s’annonce solide : l’attente autour du titre, la puissance marketing et le retour du public en salle laissent espérer des recettes confortables. On y voit une proposition commerciale assumée, mais qui garde une identité esthétique, ce qui n’est pas si courant.
Le montage respire, la musique appuie sans envahir. Quelques audaces visuelles apportent du relief, sans détourner du récit. La photographie, souvent chaleureuse, valorise les textures et les visages : on ressent un plaisir de cinéma simple et direct.
Au final, Poor Things (Rattrapage France 2024) confirme que le divertissement peut encore conjuguer efficacité et regard d’auteur. Pas de révolution, mais une vraie tenue – suffisamment pour marquer l’année 2024.