LES CHAMBRES ROUGES

Deux jeunes femmes se réveillent chaque matin aux portes du palais de justice de Montréal pour pouvoir assister au procès hypermédiatisé d’un tueur en série qui les obsède, et qui a filmé la mise à mort de ses victimes. Cette obsession maladive les conduira à tenter par tous les moyens de mettre la main sur l’ultime pièce du puzzle, qui pourrait permettre de définitivement confondre celui que l’on surnomme le Démon de Rosemont : la vidéo manquante de l’un de ses meurtres. (Source Allociné)

Kelly-Anne et Clémentine, deux opposées aux motivations troubles

Un thriller qui en marquera plus d'un de par sa thématique. Haletant, captivant, malsain ( pas besoin de séquences visuelles choc pour remuer le spectateur) tout est montré du point de vu des deux actrices avec en tête Juliette Gariepy habitée par son personnage à la personnalité des plus troubles ou il est difficile d'éprouver de l'empathie (gros point fort du film) .

Quand attirer l'attention de l'accusé devient primordiale

Pourquoi est elle si obstinée et obsédée par cette affaire ? Le spectateur ne sera pas au bout de ses surprises.

Ludovic, accusé ? Coupable ?

Les Chambres Rouges ou comment commencer 2024 avec un film marquant longuement les esprits.

Auteur de l'article : Emmanuel QUENEVILLE